jeudi 19 octobre 2006

Un grand meursault et le début de la suite

Revenons à nos moutons... Les cépages oubliés m'avaient fait oublier le plus simple des explications (je me rends compte que mon dernier post n'était peut-être pas d'une clarté limpide, ou d'une limpidité claire...). En tout cas, on est encore dans l'exploration de ces cépages-là avec notre cours du mercredi soir et nous en avons redécouvert deux autres hier, avant de devoir filer chez Juliette et Sylvain pour un dîner bien arrosée de champagne.

Mais non, non, je vais plutôt parler du week-end dernier, parce que là, quelques records personnels ont été battus en matière de vin. Je voulais faire la liste, mais c'est trop long pour être honnête...

Vendredi dernier, c'est Guillaume, rencontré sur un forum vineux, qui allait venir déjeuner. Il vit a Francfort mais a trouvé de la place dans ses bagages pour une bouteille de Meursault 1er cru Genevrières 2001 de François Jobard. C'était un délicieux exemple d'un jeune meursault plein de corps et qui s'est délesté de son bois au fur et à mesure qu'il s'ouvrait dans le verre.

Nous, comme riposte, avons servi un Clos de la Roche 1998 de Dominique Laurent, dont le seul nom fait craindre de possibles fautes de goût ; or, il n'en était rien. Le Clos de la Roche était soyeux, grenat clair et flatteur, long en bouche et m'a laissé un grand souvenir. Mm. Et re-mm.

Mais nous avions à peine le temps de faire une sieste post-agapes, puisque les parents d'Arnaud allait arriver à la gare Montparnasse en début de soirée.

L'arrivée de Didier et Catherine ouvrirait la porte sur trois jours de gastronomie sans égal, qu'il faudra raconter, que je raconterai, quand je retrouverai l'haleine...

0 commentaires: