lundi 4 juin 2007

Loire et Bourgogne

Samedi j'étais gâtée, je le dirai tout de suite. Bon, un peu pompette un peu en permanence, aussi : nous avons fait la dégustation des Caves Augé le matin (délicieux cheverny de Hervé Villemade ; excellents sancerre de Paul Prieur ; l'incontournable Pierre Breton en bourgueil et chinon, et cœtera...). Après, nous avons eu l'idée inspirée de descendre une bouteille de Saint-Nicolas-de-Bourgueil avec notre pitance dans un bistroquet du coin.

Après, j'ai dormi dans le métro : fus heureusement réveillée à temps pour sauter sur le quai, place Monge.

Après trois heures de sieste, j'ai pu me réveiller juste à temps d'aller chercher du pain pour le dîner, où il y aurait quatre amis avec qui j'avais fait le pèlerinage en Bourgogne il y a deux ans.

Donc, nous avons pu - avec un enthousiasme croissant - déguster un crémant de bourgogne (bof ; erreur de ma part), suivi de quelques petits bijoux de la Côte d'Or : un suave, franc Meursault 2005 de Rodolphe Demougeot ; un rustique Vosne-Romanée 1999 de Denis Thomas ; et un puissant, mais très plaisant, voire élégant Nuits-Saint-Georges 2002 de Dominique Laurent.

Et puis j'ai dormi, je pense. Mais le lendemain matin, j'ai vu que j'avais fait la vaisselle, aussi, quelque part...

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