mardi 8 juillet 2008


Nous avons bien bu à Paris - tout dernièrement avec une petite coterie de convives, avec qui nous avons sondé la Champagne et la Bourgogne (mm, merci les amis pour un très gourmand Ruinart 2000) ; maintenant nous nous apprêtons à prendre la route, direction (inattendue) : l'Auvergne et ensuite, le Languedoc.

Plus précisément, Charroux, La Bourboule et puis, Montpellier. Comme seuls La Bourboule et Montpellier s'imposaient, il fallait trancher pour la descente : le Centre ou l'Auvergne pour une halte vineuse ?

Oui, le choix était dur à faire. Tout d'abord, on n'avait pas le temps de passer par des régions nobles - ne fût-ce que le Val de Loire ! - et deuxièmement, cela nous laissait libres de tâter de crus qu'on fréquente moins assidûment que les bourgognes et les champagnes, justement, et autres chinon, bourgueil et compagnie.

Mais allions-nous voguer du côté de Châteaumeillant ? (J'en connais de très goûteux.) Ou plutôt vers Saint-Pourçain ? (J'ai le souvenir aussi d'un excellent pétillant - si, si !)

Finalement, attirés par la beauté du village de Charroux (et par sa moutarde), nous avons tranché pour le Bourbonnais et donc Saint-Pourçain-sur-Sioule. Ce sera intéressant de voir comment ont progressé les vins depuis quelques années que je n'en ai pas goûté.

Ensuite, descente à Montpellier et donc balade vers Pic-Saint-Loup. Ces vins-là seront quasi totalement une découverte pour moi ; j'espère en trouver de nuancés, car mon image pour l'instant est de crus trop souvent massifs.

Nous verrons bien ce que nous devenons...

Et si jamais vous avez des suggestions de vins ou de vignerons, je suis preneuse. Cliquez donc sur « Commentaires » !

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